Grands rosiers de la foudre mes beaux salauds mes dieux
toujours vous vous bâfrez dans la pièce à
côté
et que je rêve à vous ne vous dérange pas
plus que voyeur à ceux qui font l'amour
Mais si j'entre et si je vous gifle
si je mets ma tripaille dans vos plats de vermeil
mon désarroi d'étang dans vos vins de soleil
si je vous pisse au cul et si je vous renifle
il faudra bien me clouer au rocher
ou m'accepter parmi vos ors
à moins que vous disparaissiez
et que votre dedans devienne mon dehors
Poème petit chemin de chien ou d'infusoire
je te suis même sans y croire
Au bout des mots indécents
tu es Mort ou paysan.