Noyau à nu, publié en 1977 aux Éditions St Germain des Prés dans la collection Poésie pour vivre/Le Pont de l'Épée, porte comme sous-titre Poèmes critiques.

Dans sa présentation, Jean Breton écrit:

"Ce qui touche dans Noyau à nu, c'est l'insouci de fignoler le poème, quand l'urgence est ailleurs; c'est aussi le désintérêt pour le poème en prose, quand on y prouvait une telle maîtrise. Ni coquetterie ni vantardise: que les poètes comme hommes et femmes prennent ici une leçon. Voici Chambelland 20 ans après: tel qu'en lui-même (mais se renouvelant par une écriture de court-circuit), seul et désarmé, avec son intelligence (qu'il sait mettre à sa place), sa sensibilité ( qu'il exècre et supporte), son barrage de phantasmes et de roses. Essayant de vivre sans fioriture."

La même année, paraît Requiem pour une femme bleue, sous le pseudonyme de Jean Sannes, aux Éditions du Pont de l'Épée.

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